Eáránë Modo - Niveau I
Messages : 76 Puissance : 103 Date d'inscription : 10/01/2013
Feuille de personnage Age: 21 ans Race: Ange Déchue Armes et Pouvoirs : Arme: Un arc Pouvoirs: Torture psychologique, Skotokinésie, Bouclier mental et physique
| Sujet: Mourir est une sensation si agréable, non ? [PV Oskan] Jeu 11 Juil - 19:56 | |
| Après cette quête, je me dirigeais, seule à mon plus grand désespoir, vers la Forteresse Noire. On m'avait promis une chose, si jamais j'accomplissais la quête qui avait été lancée, et que j'avais acceptée. Et j'allais chercher la récompense promise, même si c'est vraiment insensé. Je serais toujours Déchue, mais au moins je pourrais retrouver ma place en tant que Seconde du Grand Chef des Disciples de Dehron. Mais avant il fallait traverser les Souterrains de la Désolation. Ces fameux Souterrains, où j'en gardais des mauvais souvenirs... Le visage de Jensenn revient dans mon esprit. En secouant la tête, j’accélérais mon allure, pour éviter ce genre de désagrément. Mais finalement, le voyage se passa sans accro. J'arrivais enfin sur les plaine, et j'apercevais la Forteresse de loin.
Je regardais mes ailes striées de doré avec un pincement aux lèvres. Je n'était pas sûre que Findecáno accepte la couleur que mes ailes ont prises. Il penserait que je serais retombée amoureuse, ce qui était le cas mais il fallait garder cela pour moi, et referais certainement les mêmes choses que dans le passé. Ou alors il penserait qu'un peu de Bonté s'était installée en moi... Et me bannirais. J'espérais vraiment qu'il ne remarquerais pas cela...
Voler devenait trop dangereux. Parce que le Ciel devenait trop chargé, et qu'il n'y avait aucune priorité de passage. Trop de monde la regardait, la reconnaissait. C'était vraiment trop gênant, blessant. Marcher me convenait mieux pour l'instant, même si cela prenait plus de temps. En un haussement d'épaule, elle se dit qu'elle avait toute sa vie devant elle. Une ombre au loin attira son attention. Enfin, pas plus que cela, mais le sentiment d'être à proximité de l'homme que j'aime me fis regarder aux alentours. En souriant, je volais à quelques centimètres du sol jusqu'à cette ombre. Qui se révéla être Oskan. Mon instinct ne me trompais pas. Je me raclais la gorge, il se retourna, toujours aussi beau. | |
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